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La diversité culturelle et générationnelle est la clé du succès du centre ONE R&D de Vallourec à Aulnoye-Aymeries

Le programme de diversité, d’équité et d’inclusion de Vallourec, We Are Vallourec, soutient et célèbre la collaboration entre ses différents salariés.
08/04/2024
Carrières

Le programme de diversité, d’équité et d’inclusion de Vallourec, We Are Vallourec, soutient et célèbre la collaboration entre ses différents salariés. Lorsque des personnes abordent un défi avec des perspectives différentes, les résultats sont toujours positifs, y compris pour le Groupe et ses clients.


Véronica Scheiber et Guillaume Néel, collègues du centre ONE R&D d’Aulnoye-Aymeries, partagent leur expérience sur les avantages de la collaboration interculturelle et intergénérationnelle chez Vallourec. Ils expliquent comment leurs différences enrichissent leur travail conjoint dans le domaine de la recherche et du développement.


Bien que les parcours d’ingénieurs de Véronica Scheiber et Guillaume Néel diffèrent dans leur chronologie et leurs expériences, tous les deux ont été attirés par une carrière chez Vallourec pour une même raison : la dimension internationale de l’entreprise.


Tout au long de sa première année sur le site d’Aulnoye-Aymeries, Véronica a pu constater chaque jour l’impact de ce caractère mondial.

 

La diversité présente ici enrichit véritablement nos performances individuelles mais aussi collectives

Véronica Scheiber
Ingénieur Corrosion – ONE R&D Aulnoye-Aymeries

Ce sentiment est partagé par Guillaume, dont les 17 années passées au sein de l’entreprise parlent d’elles-mêmes.

Évoluer dans un environnement multiculturel est enrichissant, surtout en ce qui concerne la R&D. Cela offre une perspective diversifiée qui complète parfaitement le domaine des produits tubulaires pour l'industrie pétrolière (OCTG), déjà vaste et complexe, offrant ainsi un terrain de jeu immense pour les ingénieurs !

Guillaume Néel
Responsable Equipe Développement Matériaux et Applications – ONE R&D Aulnoye-Aymeries

La volonté d'explorer

Le parcours de Guillaume chez Vallourec a débuté par un stage au Brésil, suivi d’une décennie passée dans ce pays à divers postes d’ingénieur. Il est revenu en France en 2016 et supervise aujourd’hui une équipe de 10 personnes. Basée à Aulnoye, son équipe aide les clients à trouver les matériaux adaptés aux conditions spécifiques de leurs gisements, tout en développant de nouvelles applications et techniques. « En tant que responsable, je m’efforce d’encourager une circulation constante des connaissances au sein de mon équipe », explique Guillaume.


Le parcours de Véronica a débuté lorsque, encore étudiante en Argentine, elle s’est lancée dans l’apprentissage du français. Combinant cet attrait pour la langue avec une formation en génie chimique, elle s’est installée en France pour préparer un doctorat dans ce domaine. Diplôme en poche, Véronica est recrutée à Aulnoye. « Je me suis facilement intégrée dans l’équipe », dit-elle. « J’avais aussi des collègues étrangers, ce qui m’a aidé, car ils étaient arrivés en France avant moi et ont pu me montrer les ficelles du métier. » Ingénieur R&D Corrosion, Véronica travaille sur la sélection des matériaux pour les énergies traditionnelles et nouvelles aux côtés de Guillaume.

Déterminer les matériaux appropriés pour le CCUS

Véronica et Guillaume ont récemment fourni des services de sélection et de qualification des matériaux à des acteurs majeurs de l’industrie pétrolière et gazière dans le cadre d’un projet de captation, d’utilisation et de stockage du carbone (CCUS).


« Nous recueillons des données sur les performances des différents matériaux utilisés pour injecter et stocker le CO2 capté à partir de sources industrielles », explique Guillaume. « Nous espérons, à terme, identifier des moyens de stocker le carbone à long terme, et pas seulement pendant quelques années. »

Pour ce faire, l’équipe analyse l’impact des différentes impuretés, puis adapte son équipement aux besoins spécifiques du projet. En parallèle, elle élabore des critères pour la sélection des matériaux. « De cette manière, nous pouvons recommander à nos clients les meilleurs matériaux répondant aux conditions uniques de leur projet, tout en établissant une liste adéquate de référence pour les projets à venir. »

Créer des passerelles vers l'innovation

Pour Guillaume et Véronica, la collaboration interculturelle est, depuis le début, une constante chez Vallourec. Guillaume estime que cet aspect fait partie intégrante de sa formation d’ingénieur. « J’aime le temps que j’ai passé avec mes collègues au Brésil », déclare-t-il. « Grâce à leur perspicacité, j’ai appris à résoudre des problèmes en utilisant des solutions originales et innovantes. »


Bien sûr, travailler dans des pays différents comporte son lot de défis. Véronica raconte comment elle a dû s’adapter à des normes différentes entre l’Argentine et la France. « Lorsque je faisais des recherches dans un laboratoire en Argentine, nous avions moins de ressources et nous devions donc être plus créatifs à certains égards. Nous devions également travailler plus longtemps, entre 10 et 12 heures par jour », explique-t-elle. « En ce qui concerne les relations sociales au travail, nous sommes plus informels en France et nous nous adressons les uns aux autres en utilisant la forme « tu » au lieu du « vous », plus formel. Cela modifie les relations d’une manière que j’apprécie. »

Chez Vallourec, cultiver ces relations au-delà des barrières de génération, de culture ou de langue, permet une véritable croissance. « L’apprentissage est une voie à double sens », affirme Guillaume. « Nous sommes issus de générations différentes mais nous avons, mutuellement, beaucoup de connaissances à partager. » Par exemple, Véronica a présenté à Guillaume des méthodes permettant d’utiliser diverses technologies, y compris l’intelligence artificielle, pour gagner du temps sur les tâches.


Pour Véronica, les conseils de Guillaume ont également été un atout majeur. « Je n’avais aucune expérience lorsque je suis arrivée chez Vallourec – le CCUS était particulièrement nouveau pour moi », dit-elle. « Guillaume a partagé une grande partie de ses connaissances, ce qui m’a permis d’adapter ce qu’il m’avait appris et de l’appliquer à ce domaine. »

Un échange continu

Bien qu’ils viennent d’horizons différents et se trouvent à des stades différents de leur carrière, Véronica et Guillaume partagent une vision commune : façonner l’avenir grâce à la science.


Au fur et à mesure qu’ils progressent dans leur carrière d’ingénieur, le partage de leurs expériences uniques ne fait que renforcer cet objectif. « Je pense qu’il s’agit d’un processus de croissance mutuelle », déclare Guillaume. « En échangeant des idées, nous sommes une source constante d’inspiration les uns pour les autres. Cela fait partie du quotidien chez Vallourec. »